En hauteur, mais pas trop, à deux pas du village de Haulmé et à 6 km de Monthermé par la Trans-Semoysienne, deux cabanes accueillent les amoureux de nature pour une nuit ou plus.
Petit havre de paix pour Robinsons du XXIe siècle, les cabanes de Haulmé ont planté leurs premiers piquets en 2016. Depuis juin de cette année-là, Séverine Focherolles et son compagnon David Rogissart ainsi qu’un ami Damien Dufour font vivre ces deux cabanes.
Rendez-vous avec Séverine devant la mairie d’Haulmé. « Un village qui compte de nombreuses résidences secondaires. Pour trouver des magasins et restaurants ou la location de canoë, il faut aller jusqu’à Tournavaux. C’est très calme ici, et il y a de belles balades à faire. » Monthermé n’est pas bien loin non plus, quelques minutes en voiture, une bonne heure de marche par la Trans-Semoysienne, cette piste cyclable créée sur l’ancienne voie du P’tit train de la Semoy il y a quelques années (lire aussi pages 22-23).
A quelques centaines de mètres du cœur du village, un petit chemin descend et mène directement aux cabanes. D’emblée, Séverine explique : « J’adore ma région, les paysages sont magnifiques. Je me balade beaucoup et je ne me lasse pas, même quand il pleut ou sous la neige. Nous avions le projet depuis quelques années d’acheter un terrain où aller nous détendre avec nos enfants. Un jour en me baladant, j’ai repéré celui-ci. Les propriétaires y mettaient leur caravane, mais l’âge aidant, ils n’y venaient plus. Ils ont accepté de vendre. Le projet était lancé. Nous avons fait construire ces deux cabanes. »
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