Au passage de la première écluse après Vireux-Wallerand, mon chien s’est agité, tous ses sens en alerte, il retrouvait ses bonnes vieilles habitudes.
Avec une vigueur joyeuse, il a sauté sur le quai, l’amarre entre les dents, l’air décidé. L’écluse passée, au lieu de se rendormir à mes pieds, la truffe au soleil, il est resté debout, à balayer l’horizon du regard, à scruter la rive herbeuse comme s’il y cherchait un point d’ancrage. Il avait une idée derrière la tête, je n’en doutais plus…
La suite dans alluMeuse n°15, en librairies et points presse tout l’été !