La pêche en Meuse a longtemps été plus une nécessité économique qu’un loisir. Des familles entières à Bouvignes, Anhée, Profondeville et Wépion en vivaient. La Meuse était riche en écrevisses, anguilles, perches, brèmes, rousses, barbeaux, ombres, hotus, chevaines, truites et saumons ainsi qu’en goujons, épinoches et brochets.
Aujourd’hui, si le nombre de pêcheurs traditionnels diminue, c’est au profit des pêcheurs sportifs. Parfois, le plaisir de pêcher n’y est plus. Cormorans, silures, braconniers… gâchent les bons moments passés sur le fleuve ou sur la berge…
Alors, la pêche en Meuse, c’était mieux avant ? Rencontre avec des pêcheurs qui nous racontent leur quotidien dans le numéro d’été d’alluMeuse…